Bois d’Arlon : l’aventure a commencé !

Source: Members Only

Nouveau joyau pour les passionnés de swing, le « Bois d’Arlon Golf & Resort » propose des infrastructures d’exception avec, notamment, deux parcours remarquables et une académie où Jean-Jacques Rivet a pignon sur greens.

Le « Bois d’Arlon Golf & Resort » a officiellement ouvert ses portes et ses greens aux visiteurs extérieurs le 1er juin. Le club propose désormais une offre exceptionnelle avec deux parcours de très haut niveau : le Heath Course (18 trous), dessiné par Stuart Hallett, et le Parkland (9 trous), œuvre de Jonathan Davison.

En golf, comme en art, il est toujours délicat d’effectuer des comparaisons. Mais il est clair que ce nouveau club réunit tous les atouts pour se hisser parmi les premiers de la classe, à la fois en Belgique et en Europe. A ses deux parcours de grande qualité, il ajoute, en effet, des infrastructures d’exception avec un hôtel 4 étoiles de 64 chambres (ouverture prévue le 1er juillet), une quinzaine de lodges pour les séjours en famille, un restaurant avec terrasse dirigé par le chef Julien Lapraille, un centre welness/fitness de la dernière génération et un château privatisable pour des événements et des réceptions. Le tout dans un cadre bucolique et majestueux, près d’Arlon et au carrefour des frontières de Belgique, du Luxembourg, d’Allemagne et de France.

Initiateur de ce projet titanesque et propriétaire du domaine, l’entrepreneur luxembourgeois Robert Schintgen a vu les choses en grand. Passionné de golf, il a voulu offrir à « sa » région un outil cinq étoiles pour le développement du golf, bien sûr, mais aussi du tourisme et de l’économie locale. Le tout dans le plus pur respect de l’environnement et de la biodiversité. Mission accomplie !

Deux parcours complémentaires

Le golf est évidemment la locomotive du concept. Les deux parcours méritent le voyage toutes affaires cessantes. « Ils ont des designs très différents. Le Parkland serpente dans les jardins du château avec des fairways balisés par les arbres centenaires. Il faut faire preuve de technique et de stratégie pour ramener une belle carte de score. Le Heath Course est balisé par les genêts et les bruyères, un peu dans l’esprit du grand Tom Simpson. Là aussi, il faut jouer juste pour dompter tous les pièges et maîtriser le vent qui peut jouer un rôle essentiel. Les pars 3 ne sont pas très longs mais s’avèrent redoutables, à l’image du trou n°5, une pure merveille. Les deux parcours sont différents mais complémentaires. Ils représentent un vrai test grandeur nature », résume Bart Bollen, directeur du golf.

Le défi est, en tout cas, passionnant à relever pour les joueurs de tous les niveaux. « Nous avons prévu cinq tees sur chaque trou pour permettre à chaque joueur de savourer le moment et de prendre un maximum de plaisir, sans stress inutile… »

Plusieurs pros sont déjà venus tester les terrains. Leur feedback est unanime : le Bois d’Arlon est promis au plus bel avenir et pourra parfaitement accueillir les plus grandes compétitions professionnelles. Le championnat de la PGA belge pendra la crémaillère en juillet. A terme, il n’est pas impossible que le club accueille un grand tournoi international. Avec une situation géographique idéale et un hôtel sur site, il remplit déjà le cahier des charges !

Une académie de haut niveau

Le Bois d’Arlon est accessible à la fois aux visiteurs extérieurs et aux membres. Deux cotisations sont proposées à ces derniers. « La Gold, réservée à seulement 100 joueurs, permet de jouer sur les deux terrains toute l’année, sans contrainte, avec une voiturette et un accès à toutes les infrastructures. Elle affiche déjà quasiment complet. L’autre est plus classique avec certaines restrictions le week-end sur le Parkland. Et, là aussi, le return est très positif.  Au total, nous ne visons pas plus que 400 membres afin de conserver une forme d’exclusivité et de permettre un développement extérieur. »

Les green-fees sont évidemment les bienvenus avec, en toile de fond, des tarifs très accessibles vu la qualité des lieux : entre 110 et 130 euros en haute saison. Et pourquoi ne pas s’offrir un package avec deux parcours, un dîner gastronomique et une nuit à l’hôtel ?

Le Bois d’Arlon propose également des infrastructures d’entraînement de très haute tenue avec l’un des practices les plus vastes de Belgique et, surtout, une académie unique en Europe dotée de toutes les dernières technologies, dont le Trackman. Baptisée « European Performance Stadium », elle permet aux joueurs de tous les niveaux de bénéficier des outils modernes pour progresser à la fois aux niveaux technique et athlétique. Ce n’est pas un hasard si Jean-Jacques Rivet, pionnier et référence internationale de l’application de la biomécanique dans le sport, a choisi d’installer son centre Biomecaswing au Bois d’Arlon. Nous y reviendrons dans un prochain numéro.